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Appel à contribution scientifique pour la Revue Africaine du Jeune Chercheur (RAJEC)

LABORATOIRE INNOV’AFRICA
RAJEC

Revue Africaine du Jeune Chercheur no 001 (2024)

Appel à contribution scientifique

Thème général :
Refonder la recherche en Afrique : L’expérience de l’UCAC

Sous la direction du Comité Scientifique et du Secrétariat de Rédaction

Lignes directrices

« Les Africains ont le devoir de contribuer aujourd’hui à faire de leur continent un centre de référence et un pôle d’excellence en matière de savoir scientifique. C’est une
question de vie ou de mort pour des millions d’hommes et de femmes d’Afrique ». Cette affirmation de Jean-Marc Ela, dans L’Afrique à l’ère du savoir[1], met en exergue et propulse au premier rang la recherche scientifique, qui représente le socle du savoir.

La recherche scientifique désigne un ensemble d’investigations effectuées dans un domaine précis et selon des méthodes et procédures spécifiques. Elle cherche à mettre en lumière de nouvelles informations ou à en vérifier d’anciennes, afin d’augmenter ou de consolider les connaissances. Par conséquent, la recherche scientifique repose sur l’examen d’hypothèses pour mieux comprendre ou analyser en profondeur un phénomène donné au sein de la société. Ainsi, elle constitue l’épine dorsale de toute évolution sociale qui vise à produire des connaissances ou aspire à observer et à comprendre les comportements ainsi que les changements dans la société.

À cet effet, il sied de souligner que les études scientifiques jouent un rôle fondamental dans la planification gouvernementale et l’organisation des institutions. Elles peuvent être une source capitale d’informations pour leur travail. Par conséquent, il est absolument nécessaire d’adopter une méthodologie scientifique dans toute recherche visant à comprendre la société et à développer des politiques, des programmes ainsi que des projets, afin de favoriser l’émergence humaine et d’apporter des mutations sociales positives.

La recherche se veut systémique et systématique dans la mesure où elle suit des étapes ordonnées de manière logique. Certes, la recherche scientifique permet d’obtenir des diplômes et autres honneurs académiques ; mais, elle aide, aussi et surtout, à faire de nouvelles découvertes pour apporter des solutions innovatrices à des problèmes complexes ainsi qu’améliorer nos vies tout en tenant compte de l’état de la planète. Bref, elle contribue foncièrement à l’avancement de la science et à l’épanouissement des populations à travers le monde. C’est dans cette logique que la Revue Africaine du Jeune Chercheur (RAJEC) a été conçue et est en cours de production par le Laboratoire Innov’Africa ; une structure heuristique rattachée à la Faculté de philosophie de l’Université Catholique d’Afrique Centrale (UCAC).

En réalité, à côté de l’enseignement et du service, la recherche représente un lieu fondamental et un lieu fondateur de l’Université. La recherche équivaut précisément à une fonction majeure et occupe une place décisive au sein de l’Université. On ne saurait imaginer une université digne de ce nom qui néglige ou n’active pas le plan de la recherche dans son cheminement ordinaire.

Dans les universités, la recherche est administrée à des fins différentes : développement scientifique, politique de la recherche scientifique ; domaines de recherche, sélection et maintien des filières de la recherche universitaire ; recherche technologique ; perfectionnement de l’étudiant en tant que chercheur créatif. Certains de ces thèmes sont liés aux fonctions que chaque université confère à ses facultés, ses instituts et ses centres ; toutefois, la recherche technologique et le perfectionnement de l’étudiant chercheur exigent qu’on y apporte une attention particulière[2].

C’est à l’engendrement et au perfectionnement de l’étudiant chercheur créatif que nous voulons singulièrement opérer. Selon nous, en dehors de la recherche menée magistralement par les chercheurs seniors, il faudrait accorder un espace réel et procéder à un accompagnement plus profond et plus conséquent des jeunes chercheurs. Ce qui demande un véritable investissement en termes de ressources humaines ainsi que la mobilisation des moyens logistiques, techniques et pratiques.

C’est à cette fonction déterminante que veut s’atteler le Laboratoire Innov’Africa. Il s’agit de réfléchir et d’agir en vue de l’émergence d’une recherche de haute facture menée par les jeunes avec le soutien et l’encadrement des aînés. Et, l’une des missions de la RAJEC est de travailler activement à la visibilité éditoriale des jeunes chercheurs de l’UCAC et d’ailleurs, d’Afrique plus spécialement. Ce qui représente une option originale et une proposition innovante au sein de l’Université Catholique d’Afrique Centrale, notamment sous le couvert de la Faculté de Philosophie qu’elle abrite.

Pour corser notre propos, on dira, sans exagérer, qu’il est question de donner un espace de publication pérenne aux chercheurs afin d’ouvrir une perspective aux recherches effectuées dans divers domaines. L’objectif est d’offrir la possibilité aux jeunes chercheurs d’avoir un lieu assuré de publication afin de leur permettre de réaliser des études scientifiques qui les aideront à définir les priorités, à planifier leurs projets et à proposer des solutions et alternatives possibles.

Le premier thème que la revue abordera est intitulé ainsi : Refonder la recherche en Afrique : l’expérience de l’UCAC. L’ambition fondamentale est de mettre en exergue les fondements, les configurations et les orientations de la recherche scientifique en général. En outre, il paraît utile de classifier les études faites au niveau de la recherche et de les mettre dans une catégorie spécifique ; car, chaque catégorie ou type de recherche utilise un ensemble spécifique de procédures. À travers ce premier thème, nous voulons analyser et présenter les chemins empruntés par la recherche en Afrique en général, et au sein de l’UCAC, en particulier. L’opération théorique consiste à déterminer les atouts majeurs, les grandes réussites et les diverses pesanteurs de la recherche menée dans notre contexte local ; tout cela, en vue de proposer des éléments pour un plan heuristique différentiel, pour un cheminement scientifique plus efficient et plus déterminant, en considérant globalement le projet développemental du continent noir.

Selon nous, l’heure est venue de promouvoir, de façon décisive et effective, un espace de recherche prospective et de publication régulière au sein de l’UCAC, en direction d’Afrique et du monde. Dans cet ordre, en tenant compte des besoins d’efficacité, d’innovation et de compétitivité, l’acquisition des équipements de recherche toujours plus performants s’impose. In fine, il nous faut ensemble penser (à) une recherche à forte valence locale ; une recherche qui présentifie l’originalité et l’inventivité des jeunes chercheurs africains. Voici donc venu le temps de théoriser, d’imaginer et d’implémenter un modèle africain et ucacien (afro-ucaciende la recherche et même, un modèle afro-ucacien de l’Université ! La tâche est excitante et exigeante. Elle devrait faire l’objet de réflexions prolongées et partagées car il s’agit d’une sphère d’évaluation du degré avec lequel les résultats de recherche sont applicables et généralisables à l’éducation et à la vie pratique. La RAJEC voudrait participer à la concrétisation d’une telle vision et de telles ambitions heuristiques.

Axes de réflexion et lieux d’investigations théoriques de la RAJEC no 001

  1. De la recherche : sens, fondements et orientations générales
  2. La recherche entre création, invention et innovation
  3. La recherche fondamentale au sein du continent : idées, structures, avancées et défis
  4. La recherche et le développement de l’Afrique : lieux, milieux et enjeux
  5. Pratiques et stratégies de la recherche en contexte local : institutions publiques, structures d’organisation universitaires, cellules et organes heuristiques
  6. La recherche dans les disciplines théoriques et scientifiques en Afrique
  7. La recherche dans les domaines techniques et pratiques en Afrique
  8. La recherche à l’Université Catholique d’Afrique Centrale : organisation, évaluation et projection

Directeur de publication : Pr Stève Gaston BOBONGAUD, Pr Titulaire UCAC

Rédacteure en chef : Dr Line Murielle EMAH NGONO, FSJP UCAC

Rédacteur en chef adjoint : Dr Pierre KENGNE TALOM, FAC THÉO UCAC

Comité scientifique

Président : Auguste Nsonsissa, Professeur Titulaire CAMES, Université Marien Ngouabi

Membres :

  • Pr Issoufou Soulé Mouchili, Professeur Titulaire, Université de Yaoundé I
  • Pr Emmanuel Mukambilwa Banywesize, Professeur Ordinaire, Université de Lubumbashi
  • Pr Évariste Dupont Boboto, Professeur Titulaire CAMES, Université Marien Ngouabi
  • Pr Anatole Fogou, Professeur Titulaire, Université de Maroua
  • Pr Stephen Kizito Forbi, Professeur Titulaire, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr Stève Gaston Bobongaud, Professeur Titulaire, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr Martinien Bosokpale, Professeur Ordinaire, Université Catholique du Congo
  • Pr Elvis Elengabeka, Professeur Assimilé, Institut Supérieur des Sciences Humaines
  • Pr Pamphile Biyoghe, Maître de Conférences CAMES, École Normale Supérieure / Université Omar Bongo
  • Pr Steeve Elvis Ella, Maître de Conférences CAMES, École Normale Supérieure / Université Omar Bongo
  • Pr Brice Arsène Mankou,  Professeur invité  au CRE ( Université de Montréal) et Maître de Conférences, Université de Rouen
  • Pr Louis-Claude Mbarga, Maître de Conférences, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr Jean-Paul René Ondoua Omgba, Maître de Conférences, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr Fadimatou Mounsade Kpoundia Maître de Conférences, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr François Ndzana, Maître de Conférences, Université Catholique d’Afrique Centrale
  • Pr Maxime Akanis Akanokabia, Maître de Conférences CAMES, Université Marien Ngouabi
  • Pr Paul Christian Kiti, Maître de Conférences CAMES, Université d’Abomey Calavi
  • Pr Pierre Tchimabi, Maître de Conférences, Université de Maroua
  • Pr Décaird Kouadio Koffi, Maître de Conférences CAMES, Université Félix Houphouët Boigny
  • Pr Christian Kouadio Yao, Maître de Conférences CAMES, Université Alassane Ouattara
  • Pr Bernaïce Ada Djabou, Maître de Conférences, École Normale Supérieure / Université de Yaoundé I

Secrétariat de rédaction :

Pr Stève Gaston Bobongaud ; Pr Bernaïce Ada Djabou ; Dr Line Murielle Emah Ngono ; Dr Valèse Makpto ; Dr Pierre Kengne Talom ; Dr Pierre-Yves Bessala Dzomo ; Dr François-Xavier Akono ; Dr Paul-Crescent Beninga ; Dr Jacob Cléophas Defo Nzikou ; Dr Armand-Marc Beyene ; Dr Cédric Eyebe ; Dr Thibaut Bata ; Dr Clément Aboudi ; Dr Amélie Ekassi ; Dr Patrick Ndodé-Sikossi ; Dr Damien Enama

Comité de lecture :

Pr Bernaïce Ada Djabou ; Dr  Line Murielle Emah Ngono ; Dr Patrick Ndodé-Sikossi ; Dr Pierre-Yves Bessala Dzomo ; Dr Paul-Crescent Beninga ; Dr Jacob Cléophas Defon ; Dr Amélie Ekassi ; Mme Sandrine Hanwa Fakoulsou ; Mr Yves Biakolo ; Mr Boris Kaba-Andzouana ; Mme Emily Diane Ndingsa ; Mr Gilles Alain Ndé Fonkou ; Mr Nestor Déli Sanzoumoi ; Mr Marc Vianay Elleme ; Mr Abraham Mouang ; Mr Brice Tony Ganazoui ; Mr Denis Kpolom ; Mme Géraldine Obiono ; Mr Antoine Thierry Mvondo ; Mr Passo Boris Donfack ; Mme Melissa Georgette Kouam ; Mr Jean Doum Hani ; Mme Séraphine Clarisse Ndongo ; Mr Climbie Boavole Etchue

Secrétariat techno-numérique, graphisme et montage

Mr Hubert Kisito Muolobo ; Mr Urbain Tog Yedji ; Mr Passo Boris Donfack ; Mr Sérano Baka ; Dr Jean Floscel Abomo Essindi ; Dr Jean Toubé.

Chronogramme et orientations méthodologiques générales

  • Publication et mise en ligne : 29 Janvier 2024
  • Modalités et délais de soumission des propositions

Les propositions de contributions ne doivent pas excéder deux pages (police Times New Roman taille 12, interligne 1,25). Elles doivent clairement indiquer, le titre de la communication, l’axe dans lequel s’insère la proposition, la problématique, la méthodologie qui sera employée ainsi que suggérer déjà les grandes articulations du plan de la future contribution scientifique. Les résumés doivent être envoyés en français, en anglais ou en espagnol, accompagnés de cinq mots-clés au maximum et de références bibliographiques ainsi que d’une présentation sommaire de l’auteur en 5 lignes (institution de rattachement, poste, quelques publications importantes si possible).

Les résumés et propositions de contribution scientifique sont attendus au plus tard le 29 Mars 2024 avant minuit aux adresses suivantes : larevueafricainedujeunechercheur@ucac-icy.net ; stevebobongo@gmail.com ; enlinemurielle@yahoo.com

Les auteurs recevront des réponses et des indications théoriques à la date du 29 Avril 2024

Dialogue et échanges avec le Secrétariat de rédaction en vue de l’élévation de la qualité de la production scientifique (Mai-Juillet 2024)

Modalités et délais de soumission des textes définitifs

Les auteurs sont priés d’envoyer la version définitive de leur contribution scientifique au plus tard le 29 Juillet 2024.

Les textes définitifs ne doivent pas excéder douze pages (résumé et bibliographie compris). Ils doivent clairement indiquer, le titre et l’axe de la contribution, les noms et prénoms de l’auteur ou des auteurs. Ils seront rédigés en Times New Roman, taille de police 12 avec interligne de 1,25 ; les titres des parties du texte seront en gras, ceux des sous-parties seront en gras et en italique. Seuls 2 niveaux de titres sont autorisés (I et I.1, I.2, etc. / II et II.1, II.2, etc.). Les textes réarticulés (après les remarques et l’expertise du Comité scientifique), doivent également comporter un résumé en français, en anglais  ou en espagnol, accompagné de cinq mots clés au maximum ainsi qu’une présentation sommaire de l’auteur en 5 lignes (institution de rattachement, poste, dernières publications importantes si applicable).

Publication de la Revue : 29 novembre 2024

 

 Normes méthodologiques ajoutées pour la production des textes

(NORCAMES adaptées et Normes IPIS réarticulées)

  • Logiciel de traitement : WORD
  • Police : Times New Roman
  • Taille du texte : 12
  • Interligne : Multiple 1,25
  • Nombre de pages : entre 10 et 12 pages au maximum
  • Pages : numérotées de façon continue
  • Marges : Normales
  • Notes de bas de pages : insertion automatique à numérotation continue

Références bibliographiques : En notes de bas de page §§ Les références bibliographiques doivent être uniformes tout au long du texte et suivre les modèles suivants :

Pour les livres

Henri Bergson, 2008, Les deux sources de la morale et de la religion (1932), Paris, PUF, p. 37.

Pour les articles / Citations

Stève Gaston Bobongaud (Stève Gaston), 2014, « Traditions philosophiques et rites funéraires », in Les funérailles chrétiennes en Afrique. Études pluridisciplinaires sur la mort dans les sociétés africaines contemporaines, Elvis Elengabeka, ed., Paris, Karthala, pp. 15-39.

Tshiamalenga Ntumba, 1986, « La complémentarité radicale des sciences et le primat de l’éthique », dans Problèmes de méthodes en philosophie et en sciences humaines en Afrique. Actes de la 7ème Semaine Philosophique de Kinshasa, Kinshasa, Facultés Catholiques de Kinshasa, pp. 261-268.

Bobongaud (Stève Gaston), 2005, « Penser le divin », Revue Philosophique Ancienne no 25, p. 65.

Bernard Gabarou, 2014, « La question de la scolastique en théologie », Revue Interdisciplinaire de l’Afrique Noire, vol. 45 / no 25, pp. 32-34.

Commentaires : En notes de bas de page

Citations et extraits de textes : En italiques. Les citations brèves (5 lignes) sont incluses dans le texte et mises entre guillemets, pas en Italique ; les citations longues (plus de 5 lignes) sont disposées en retrait et restent sans guillemets, pas en Italique.

Taille des citations longues : 11,5

Bibliographie

Bergson (Henri), 2008, Les deux sources de la morale et de la religion (1932), Paris, PUF.

Bobongaud (Stève Gaston), « Traditions philosophiques et rites funéraires », in Les funérailles chrétiennes en Afrique. Études pluridisciplinaires sur la mort dans les sociétés africaines contemporaines, Elvis Elengabeka, ed., Paris, Karthala, 2014, pp. 33-45.

Bobongaud (Stève Gaston), 2021, La recherche scientifique aujourd’hui, Paris, L’Harmattan [Questions nouvelles de philosophie].

Gabarou (Bernard), 2014, « La question de la scolastique en théologie », Revue Interdisciplinaire de l’Afrique Noire, vol. 45 / no 25, pp. 30-40.

Bibliographie indicative

  • Abiker (David) et alii, 2013, Les récits de l’incurable curiosité, Paris, Institut Pasteur.
  • Amin (Samir), 1989, La faillite du développement en Afrique et dans le tiers monde. Une analyse politique, Paris, L’Harmattan.
  • Banque mondiale, 2000, Le développement au seuil du XXIe siècle. Rapport sur le développement dans le monde, 1999-2000, Washington, Banque Mondiale.
  • Banque Mondiale, 2005, Des objectifs de développement pour le millénaire, Washington, Banque Mondiale.
  • Bebbé-Njoh (Étienne), 2002, « Mentalité africaine » et problématique du développement, Paris, L’Harmattan.
  • Borrero Cabal (Alfonso), 1995, L’université aujourd’hui, Paris, Unesco, Centre de Recherche pour le développement International / Ottawa.
  • Commission Économique pour l’Afrique, 2005, Les objectifs du millénaire pour le développement en Afrique, Addis-Abeba, Commission économique pour l’Afrique.
  • Descartes (René), 1947, Discours de la méthode, Paris, Les Lettres Françaises.
  • Dévoué (Elina), 1993, Recherche et développement régional, Paris, L’Harmattan.
  • Diop (Cheikh M’Backé), 2009-2010-2011, « La recherche scientifique et technologique africaine », ANKH 18/19/20, 308-340.
  • Ela (Jean-Marc), 2006, L’Afrique à l’ère du savoir. Science, société et pouvoir, Paris, L’Harmattan.
  • Fouda (Basile-Juléat), 2013, La philosophie négro-africaine de l’existence. Herméneutique des traditions africaines, Paris, L’Harmattan [Pensée Africaine].
  • Gabail (Laurent), « Singular bodies and collective bodies : Regarding two Bassari ritual dances », mai 2022. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-03671181. DOI:10.4000/ateliers.11439.
  • Garcia (Marie-Carmen), Fraysse (Mélie) et Bataille (Pierre), « Le corps sexué au prisme du genre. Nouvelles problématiques », SociologieS [En ligne], Dossiers, mis en ligne le 22 février 2022, consulté le 30 mai 2022. URL : http://journals.openedition.org/sociologies/18381 ; DOI : https://doi.org/10.4000/sociologies.18381.
  • Husserl (Edmund), 1992, Méditations cartésiennes. Introduction à la phénoménologie, trad. Gabrielle Peiffer et Emmanuel Lévinas, Paris, Jean Vrin.
  • Kä Mana, 2009, L’Afrique, notre projet. Révolutionner l’imaginaire africain, Yaoundé, Terroirs [Penser l’éducation].
  • Lachaud (Jean-Marc) et Lahuerta (Claire), « De la dimension critique du corps en actes dans l’art contemporain », Presses Universitaires de France | « Actuel Marx » 2007/1 n° 41 | pp. 84-98 ; ISSN 0994-4524 ISBN 9782130561941 DOI 10.3917/amx.041.008.
  • Ladrière (Jean), 2004, L’espérance de la raison, Louvain – Paris, Peeters.
  • Le Conseil Scientifique, 2015, Les Établissements de l’UCAC-ICY et la recherche, Yaoundé, UCAC.
  • Le Conseil Scientifique, 2015, 201, L’enseignant-chercheur à l’UCAC-ICY, Yaoundé, UCAC.
  • Le Conseil Scientifique, 2015, Annuaire des publications scientifiques des enseignants permanents de l’Ucac-Icy. Années 1991-2014, Yaoundé, Presses de l’Ucac.
  • Le Courrier de l’Unesco, « Le Corps et l’esprit », unesdoc.unesco.orgHttps://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000105951_fre.
  • Mogobe (Bernard Ramose), 2003, « The philosophy of Ubuntu and Ubuntu as a philosophy », in The African Philosophy Reader, Pieter Hendrik Coetzee and Abraham P J Roux, eds, Cape Town, Oxford University Press of Southern Africa, pp. 270-280.
  • Ngoma-Binda (Elie Phambu), 2011, Théorie de la pratique philosophique, Paris, L’Harmattan / L’Harmattan RDC.
  • Nkafu Nkemnkia (Martin), 2010, Vitalogie comme expression de la pensée africaine, Paris, L’Harmattan [L’Harmattan Italia].
  • Pairault (Claude) et alii, 1999, Citadins et ruraux en Afrique subsaharienne, Paris– Yaoundé, Karthala – Presses de l’UCAC / Cahiers de l’UCAC
  • Patrice (Thierry), 2012, Chercheurs, éthiques et sociétés, Paris, L’Harmattan.
  • Sarr (Felwine), 2016, Afrotopia, Paris, Philippe Rey.
  • Sylla (Ndongo Samba), ed., 2014, Pour une autre Afrique. Éléments de réflexion pour sortir de l’impasse, Paris, L’Harmattan.
  • Tedga (Paul John Marc), 1998, Enseignement supérieur en Afrique noire francophone. La catastrophe ?, Paris – Abidjan, L’Harmattan – Presses Universitaires et Scolaires d’Afrique.
  • Tshiamalenga Ntumba (Ignace-Marcel), 2014, Le réel comme procès multiforme. Pour une philosophie du Nous, processuel, englobant et plural. Extraits, Paris, Edilivre.

Webographie et Sitographie

 

Date : Lundi 29 Janvier 2024

Université Catholique d’Afrique Centrale-Institut Catholique de Yaoundé, Faculté de Philosophie, Laboratoire Innov’Africa §§ Campus de Nkolbisson

BP 11628 Yaoundé République du Cameroun

Appel à contribution scientifique pour la Revue Africaine du Jeune Chercheur (RAJEC)

Mots-clés : Recherche, Heuristique, Afrique, Innovation, Développement, UCAC

Chronogramme :

Publication et mise en ligne : 29 Janvier 2024

Envoi des résumés et propositions de contribution scientifiques : 29 Mars 2024

Contacts-courriels : larevueafricainedujeunechercheur@ucac-icy.net / stevebobongo@gmail.com  / enlinemurielle@yahoo.com

Réponses aux soumissions et indications théoriques : 29 Avril 2024

Version définitive des contributions scientifiques : 29 Juillet 2024

Publication de la Revue : 29 Novembre 2024