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Faut-il plus de femmes en sciences?

La science peut-elle se priver de l’apport des femmes? Qu’il s’agisse du choix des sujets de recherche ou de la façon de les aborder, leur présence contribue-t-elle à une diversification des points de vue et des pratiques? Et, si oui, comment favoriser une plus grande égalité des sexes en science et en technologie? Quels sont les facteurs qui favorisent leur carrière dans ces domaines et ceux qui leur nuisent? Des idées, des projets et des témoignages pour alimenter notre réflexion.
Mercredi 8 novembre 2017, 18h

RÉSERVATIONS REQUISES : http://www.coeurdessciences.uqam.ca

Gratuit – Ouverture des portes à 17h30

Agora Hydro-Québec (CO-R500) du pavillon Coeur des sciences de l’UQAM
175, avenue du Président-Kennedy
Métro Place-des-Arts

Avec la participation de:

Ève Langelier, professeure de génie mécanique à l’Université de Sherbrooke et titulaire de la Chaire du CRSNG pour les femmes en sciences et en génie au Québec.

Maryse Lassonde, directrice scientifique du Fonds de recherche Nature et Technologies (FRQNT), chercheuse en neurosciences, co-organisatrice du Gender Summit 2017 et présidente de la Société royale du Canada.

Hélène Lee-Gosselin, professeure de management à l’Université Laval et titulaire de la Chaire Claire-Bonenfant, Femmes, Savoirs et Sociétés.

Émilie Lefol, doctorante en biologie à l’Université de Sherbrooke. Elle compte parmi les deux Canadiennes qui vont participer cette année au projet australien Homeward Bound dont l’objectif est d’accroitre l’impact des femmes scientifiques sur les décisions politiques.

Serge Villemure, directeur des programmes de bourses et des chaires pour les femmes en sciences et en génie au CRSNG et co-organisateur du Gender Summit 2017. Il est également responsable de l’intégration des considérations d’équité, de diversité et d’inclusion au sein des programmes du Conseil.

Ce débat est organisé en collaboration avec le Fonds de recherche du Québec (FRQ) dans le cadre du Gender Summit 2017.