Comment nous jugeons les pensées d’autrui (Nature)

De nouvelles études en imagerie cérébrale révèlent que pour inférer ce que pense autrui nous mobilisons une aire cérébrale utilisée également lorsque nous pensons à nous même. À condition toutefois que nous jugions l’autre semblable à nous. Voir l’article de Nature: How we judge the thoughts of others.