Projet des Prix québécois de l’entreprise citoyenne

Récompenser les entreprises les plus «éthiques» apparaît a priori comme un bon moyen de chercher à favoriser l’essort de comportements plus socialement responsables dans le milieu des affaires. Cependant, ce projet peut rapidement devenir un couteau à double tranchant… L’éthique des affaires est souvent considérée avec un certain cynisme. Le plus souvent, nous sommes portés à nous interroger au sujet de l’éthique dans le domaine des affaires à la suite de scandales ou encore à la suite de méfaits graves à l’égard de l’environnement et des populations. Cependant, l’univers des affaires comprend aussi son comptant de bonnes nouvelles et d’innovations intéressantes concernant la protection de l’environnement et des populations les plus vulnérables de notre planète. Promouvoir de telles initiatives permettra éventuellement d’en favoriser l’essor. Néanmoins, attribuer un prix en éthique des affaires demande de considérer un bon nombre d’enjeux à la fois sensibles et délicats. D’une part, il importe d’examiner les enjeux fondamentaux autour de ce qui peut et doit être considéré comme « éthique » à proprement parler. D’autre part, il importe également de chercher à opérationnaliser ces dits critères au sein d’une méthodologie cohérente et légitime. L’étude menée par la Chaire suggère certaines réponses à ces problématiques à la suite d’une étude empirique examinant les principales pratiques dans ce domaine.

Pour obtenir plus d’informations sur les éditions des prix et les appels de candidature, consulter les articles suivants :

Édition 2008

Appel de candidature
Annonce du prix sur le site de L’actualité

Édition 2007

Appel de candidature
Gagnants et finaliste sur le site de L’actualité

Voir aussi les articles sur le blogue de la Chaire en éthique des affaires :