/home/lecreumo/public html/wp content/uploads/2017/09/poisson 2

Les animaux: leurs droits et nos obligations

Quand :
24 octobre 2017 @ 22:00 – 25 octobre 2017 @ 0:00
2017-10-24T22:00:00+00:00
2017-10-25T00:00:00+00:00
Où :
Librairie Zone Libre
262 Rue Sainte-Catherine E
Montréal, QC H2X 1L4
Canada

Vous êtes convié.e.s au lancement des deux ouvrages présentés ci-dessous. Vous serez attendu.e.s à la librairie indépendante Zone libre, pour une soirée en compagnie de Valéry Giroux, à l’occasion de la publication de Contre l’exploitation animale (L’Âge d’Homme) et de Le Véganisme (« Que sais-je ? », Puf, co-écrit Renan Larue).

*Des bouchées préparées par la formidable Christiane Bailey ainsi que du vin seront servis (contributions volontaires). 

  • Valéry Giroux et Renan Larue, Le Véganisme, coll. « Que sais-je ? », Paris, Puf, 2017

/home/lecreumo/public html/wp content/uploads/2017/09/le véganisme

Le véganisme comme mouvement de justice sociale

Le véganisme est la mise en pratique, au quotidien, de l’idéologie selon laquelle il est mal d’exploiter des êtres sensibles. Les véganes préfigurent en effet une société plus pacifique, fondée sur une conception de la justice étendue à tous les individus doués de sensibilité. Par leurs petits gestes ordinaires autant que par leurs actions plus éclatantes, les véganes luttent contre l’hégémonie carniste : ils transgressent les normes culturelles en place, « normalisent » un mode de vie alternatif et favorisent l’avènement des changements institutionnels que la justice requiert. Le véganisme est constitutif du mouvement social et politique qui vise la libération animale.

  • Valéry Giroux, Contre l’exploitation animale. Un argument pour les droits fondamentaux de tous les êtres sensibles, Lausanne, L’Âge d’Homme, 2017

/home/lecreumo/public html/wp content/uploads/2017/09/contre lexploitation animale

Contre l’exploitation animale

Tous les êtres humains jouissent du statut juridique de personne, par opposition à celui de simple chose susceptible d’être appropriée. Tous ont des droits fondamentaux qui les protègent contre la torture, la mise à mort et l’asservissement. Cependant, les membres de l’espèce Homo sapiens ne sont pas les seuls à avoir les intérêts que ces droits visent à protéger : les êtres sensibles non humains ont également intérêt à ne pas souffrir, à rester en vie et à vivre librement. Puisque la justice exige que les intérêts similaires soient traités de manière identique, il s’ensuit qu’il faut octroyer les droits individuels les plus fondamentaux à tous ces animaux, leur accorder la personnalité juridique et abolir leur exploitation.

 

Source de l’image: We Animals, Jo-Anne McArthur.